Mise en scène dans des cortèges et fêtes johanniques, Jeanne d’Arc fait l’objet de multiples interprétations populaires et politiques. Balises vous donne un aperçu des regards portés sur ce personnage historique pour accompagner la rencontre « L’histoire est-elle une religion comme les autres ? » proposée par la Bpi en janvier 2023.
Jeanne d’Arc, suffragiste
Au début du 20ᵉ siècle, Jeanne d’Arc devient l’emblème de la Women’s Social and Political Union (WSPU) – une société revendiquant, par des méthodes spectaculaires et souvent illégales, l’accès au droit de vote des femmes britanniques. En armure et à cheval, portant haut l’étendard aux couleurs de la WSPU, des suffragistes endossent le costume de Jeanne d’Arc lors de grandes manifestations londoniennes. En avril 1909, elles célèbrent la libération d’Emmeline Pethick-Lawrence, la trésorière de la WSPU. En juin de la même année, elles saluent celle de Patricia Woodlock, une autre militante. En juin 1911, elles organisent la Women’s Coronation Procession, qui rassemble quarante mille manifestantes quelques jours avant le couronnement de George V. En mai 1914, elles défilent pour promouvoir le journal de la WSPU, The Suffragette. Ouvrant la marche, Jeanne d’Arc mène les suffragistes militantes vers l’égalité politique comme, jadis, les armées royales vers la victoire militaire.
Les membres de la WSPU s’identifient à cette hérétique béatifiée : elles défendent une cause qu’elles savent juste, malgré l’opposition de leurs contemporain·es, et sont prêtes à user de la violence et à affronter la prison et la torture. Cette dévotion est notamment soulignée par Christabel Pankhurst, co-dirigeante de la WSPU : elle encourage son auditoire à « suivre l’exemple de la Pucelle en donnant tout ce qu’elles ont et tout ce qu’elles sont au service de leur pays » – les invitant aussi, indirectement, à se détourner du mariage.
D’autres sociétés suffragistes s’inspirent plus ponctuellement de Jeanne d’Arc. Elle est ainsi évoquée sur une bannière lors d’une manifestation organisée par la National Union of Women’s Suffrage Societies (NUWSS) en 1908. On la retrouve également sur celle de la Catholic Women’s Suffrage Society (CWSS) en 1912. Plus généralement, les différents cortèges suffragistes mettent souvent en scène des femmes célèbres du passé : rappeler leurs contributions à la vie économique, scientifique ou artistique du pays doit souligner l’absurdité de leur exclusion de l’électorat parlementaire.
En France aussi, des suffragistes se réclament de Jeanne d’Arc lorsqu’elles investissent l’espace public et demandent le droit de vote. En 1909, Hubertine Auclert dépose une gerbe aux pieds de la statue de la place des Pyramides, à Paris. En mai 1924, la fête de Jeanne d’Arc coïncide avec les élections législatives : la Société pour l’amélioration du sort de la femme et la revendication de ses droits en tire des pancartes « Jeanne d’Arc a pu sauver la France. Elle ne pourrait pas voter ». Un argument similaire est déployé par des féministes orléanaises en 1929, année des élections municipales et du cinquième centenaire de la libération de la ville. Les fêtes johanniques font en effet l’objet de multiples investissements politiques.
Fêtes johanniques, fêtes politiques
Plusieurs fêtes coexistent au début du 20ᵉ siècle. L’anniversaire de la levée du siège d’Orléans, le 8 mai 1429, y est célébré chaque année depuis le 15ᵉ siècle. La capture de Jeanne d’Arc à Compiègne le 23 mai 1430 y est commémorée de façon irrégulière à partir de 1909, de même que sa mort sur le bûcher à Rouen, le 30 mai 1431. L’incarnation de cette figure historique est alors un enjeu politique : à Orléans, l’adolescent qui prêtait ses traits à Jeanne d’Arc est remplacé, à partir de 1912, par une jeune fille costumée et intégrée au cortège. Comme le note l’historienne Nicole Pellegrin, « il y a là la preuve d’un changement généralisé des mœurs qui autorise désormais en public le travestissement masculin pour les femmes. »
À ces événements locaux s’ajoute, le deuxième dimanche de mai, la Fête nationale de Jeanne d’Arc et du patriotisme votée par le Parlement en 1920. Dans l’entre-deux-guerres, de nombreux membres du gouvernement participent aux différentes célébrations, signe du poids politique de la figure johannique. Les anniversaires notables suscitent la plus forte présence officielle : en 1929, le cinquième centenaire de la levée du siège d’Orléans voit se déplacer à la fois le président du Sénat, Paul Doumer, et le président de la République, Gaston Doumergue, tandis que le président du Conseil, Raymond Poincaré, se rend à Domremy. Deux ans plus tard, des membres du gouvernement et des haut-gradés militaires se rassemblent place des Pyramides pour les cinq cents ans de la mort de Jeanne d’Arc.
En 1939, Albert Lebrun, président de la République, et Jean Zay, ministre de l’Éducation nationale, se rendent à Orléans. Si les festivités associent de longue date les autorités civiles, religieuses et militaires, le rassemblement autour de l’héroïne de la patrie se fait cette année-là éminemment politique, quelques mois après l’annexion des Sudètes, puis de la Bohême-Moravie, par l’Allemagne nazie. Durant la Seconde Guerre mondiale, des membres ou représentants du gouvernement de Vichy rendent également quelques hommages à Jeanne d’Arc, dont ils ne manquent pas de rappeler la fin tragique aux mains de l’envahisseur anglais.
Avec la fin du conflit, les fêtes orléanaises acquièrent une symbolique nouvelle : désormais, le 8 mai évoque à la fois l’anniversaire de la libération de la ville en 1429 et la victoire des Alliés enEurope en 1945. Vincent Auriol, président de la République, participe donc aux festivités en 1947, accompagné du jeune ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre – un certain François Mitterrand. Son successeur, René Coty, se joint quant à lui aux célébrations de Rouen en 1956 – année qui voit coïncider le cinq centième anniversaire de la réhabilitation de Jeanne d’Arc et la réouverture de la cathédrale de Rouen, endommagée par les bombardements de 1944.
La double signification du 8 mai est aussi largement commentée et mise en scène en 1959, lors de la visite du président Charles de Gaulle à Orléans. La fusion est achevée à Rouen en 1973 : Maurice Druon, ministre des Affaires culturelles, rallume une flamme (!) en mémoire de Jeanne d’Arc, tandis qu’un régiment d’infanterie interprète Le Chant des partisans.
La participation des chefs d’État ou de gouvernement aux fêtes johanniques se poursuit donc sous la Vᵉ République : Valéry Giscard d’Estaing se rend dans le Loiret en 1979, suivi par François Mitterrand en 1982 et 1989, et par Jacques Chirac en 1996. L’hommage rendu à Jeanne d’Arc devient alors prétexte à divers messages politiques, s’attardant moins sur la biographie de la jeune femme que sur la victoire de 1945 et les appels à l’unité nationale. Ainsi, pour Valéry Giscard d’Estaing :
« l’unité nationale a été et demeure l’unique moteur de notre grandeur, et de notre influence. Cette unité mystérieuse que Jeanne a créée autour d’elle pendant quelques mois a suffi à sauver le royaume de France. Cette unité retrouvée en 1940 sous un chef historique, Charles de Gaulle, nous conduisit aux combats victorieux de 1945. »
Jeanne d’Arc, gaulliste avant l’heure ? C’est également ce que sous-entend Jacques Chirac :
« Parce que la Pucelle a surgi des profondeurs du pays, c’est le peuple qui s’est installé à la table de l’Histoire. La France de Jeanne esquisse une certaine idée de la France. […] Après elle, d’autres voix s’élèveront aux heures les plus sombres. D’autres chefs nous appelleront à resserrer les rangs face aux dangers. À demeurer fidèle à la France, à son génie, à ses traditions, à son rayonnement. Aux valeurs par lesquelles notre Histoire s’est forgée. Les soldats de l’An II, ceux de Verdun, ceux encore de la France libre et les combattants de l’ombre sous l’Occupation, tous ont répondu au même appel. »
Le président socialiste François Mitterrand salue quant à lui ces deux 8 mai qui, « à plus d’un millénaire de distance, ont permis à la France de devenir ce qu’elle est : une nation libre et souveraine ». Il envisage Jeanne d’Arc comme un symbole de « vigilance, résistance, unité » et précise :
« l’unité nationale, ce n’est pas l’uniformité, c’est le pluralisme et le choc des idées. Mais c’est aussi le sentiment d’appartenir à une communauté forgée dans l’Histoire, apte à épouser son époque, prête à la grande aventure du temps présent, où chacun de nous peut choisir librement sa manière de vivre, les compagnons de sa vie, à la condition suprême et décisive de savoir vivre ensemble. »
Dans les décennies suivantes, la tradition des visites présidentielles à Orléans est mise en sommeil : ni Nicolas Sarkozy ni François Hollande ne participent aux fêtes johanniques après leur élection. Le gouvernement y est toutefois représenté par Rachida Dati, ministre de la Justice, en 2008, et par Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, en 2016. Ce dernier n’y retourne pas après son entrée à l’Élysée mais laisse à son Premier ministre, Édouard Philippe, le soin de présider les fêtes. La charge politique des discours officiels sur Jeanne d’Arc évolue alors. Certaines personnalités osent le parallèle avec leur propre parcours. Pour Emmanuel Macron, ministre « en marche », l’héroïque bergère « fend le système » : « son arrivée suscite l’espérance, son énergie galvanise » – une allusion reprise deux ans plus tard par Édouard Philippe. D’autre part, les discours des années deux mille et deux mille dix soulignent l’universalité de la figure johannique : lors d’une visite à Vaucouleurs marquant les six cents ans de sa naissance, en 2012, Nicolas Sarkozy affirme que « Jeanne n’appartient à aucun parti, à aucune faction, à aucun clan. » Ces prises de parole récentes sont aussi, bien souvent, parsemées d’allusions à peine voilées à ceux qui « l’ont trahie en ne la méritant pas […], en la confisquant au profit de la division nationale ».
Jeanne d’Arc et l’extrême droite
La fin du 20ᵉ siècle voit en effet s’affirmer une association entre la figure johannique et l’extrême droite. L’attrait des mouvements nationalistes ou antiparlementaires pour Jeanne d’Arc est plus ancien : au début du 20ᵉ siècle, les manifestations en hommage à la jeune femme attirent notamment Paul Déroulède, fondateur de la Ligue des patriotes, Maurice Barrès, écrivain nationaliste et antisémite, et Charles Maurras, figure de l’Action française, dont les jeunes défilent, bras tendu, sur la place des Pyramides en 1934.
Héritier de courants maurrassiens, pétainistes et identitaires, le Front national (FN) fondé en 1972 par Jean-Marie Le Pen poursuit le traditionnel hommage à Jeanne d’Arc le deuxième dimanche de mai. En 1988, la manifestation est décalée au 1ᵉʳ mai afin d’éviter la date des élections présidentielles, mais aussi de se distinguer du reste de l’extrême droite tout en vantant la dimension sociale du rassemblement. La référence johannique devient ainsi prétexte à une contre-appropriation de l’espace public, à une alternative frontiste à la fête du Travail et aux manifestations intersyndicales.
Selon Yann Rigolet, les discours de Jean-Marie, puis Marine Le Pen, jouent sur « un processus de fusion et d’analogie entre leur propre statut de chefs de parti, de prophètes d’une société en déréliction, et le souvenir même de Jeanne d’Arc qui résoudrait à sa manière les maux de son temps. » La comparaison avec la « sainte de la reconquête nationale » – écho de la « patronne des envahis » saluée par Déroulède – leur sert de prétexte pour se présenter, à leur tour, comme l’homme ou la femme providentiel·le défendant la France contre les étranger·ères et contre l’intégration européenne. Le traité fondateur de l’Union européenne, signé à Maastricht en 1992, est ainsi rapproché du traité de Troyes qui, en 1420, prévoit que le roi d’Angleterre héritera de la couronne de France. De même, en amont du référendum sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe de mai 2005, Jeanne d’Arc devient dans les discours du FN un symbole de « ceux qui disent non ». Après l’arrivée de Marine Le Pen à la présidence du parti frontiste en 2011, les affiches annonçant les rassemblements du 1ᵉʳ mai et les discours prononcés à cette occasion renforcent le parallèle avec Jeanne d’Arc : selon l’historien Franck Collard, l’image de « féminité virile » entretenue par la nouvelle dirigeante du FN se veut un écho à la bergère devenue cheffe de guerre.
Bien qu’elle lui soit désormais souvent associée, Jeanne d’Arc n’a pas attendu le Front national pour descendre dans la rue. Au contraire, la multiplicité des cortèges et hommages rendus depuis le début du 20ᵉ siècle traduit une diversité d’interprétations et d’appropriations populaires et politiques. Jeanne d’Arc est devenue une figure totémique sur laquelle chacun·e projette ses espoirs et sa vision de l’histoire de France, comme le soulignait déjà André Malraux dans un discours à Orléans en 1961, repris à Rouen en 1964 :
« Ô Jeanne sans sépulcre, toi qui savais que le tombeau des héros est le cœur des vivants, regarde cette ville fidèle ! Jeanne sans portrait, peu importent tes vingt mille statues, sans compter celles des églises… À tout ce pour quoi la France fut aimée, tu as donné ton visage inconnu. »
Votes for Women est un titre de presse suffragiste fondé en 1907 et dirigé par Emmeline et Frederick Pethick-Lawrence. Il est rattaché à la WSPU jusqu’en 1912, date à laquelle les Pethick-Lawrence sont exclu·es de cette société militante. Le couple continue alors de publier Votes for Women de manière indépendante, tandis que la WSPU se dote d’un nouveau journal hebdomadaire, The Suffragette, sous la direction de Christabel Pankhurst. Ce dernier prend le titre de Britannia en 1915.
Jeanne d’Arc est régulièrement évoquée dans les pages de ces deux journaux. Des membres de la WSPU y relatent les manifestations mettant en scène la Pucelle en avril 1909, en juin 1909, en juin 1911 et en mai 1914. Des comparaisons entre l’héroïne médiévale et les suffragistes militantes sont par exemple dressées en avril 1909, dans une retranscription du discours prononcé par Emmeline Pethick-Lawrence lors de sa libération, le même mois dans un résumé d’une prise de parole de Christabel Pankhurst, et en mai 1913, dans un article de Christabel Pankhurst. En juin 1914, cette dernière signe également un résumé critique d’un pamphlet consacré à Jeanne d’Arc par Millicent Garrett Fawcett, la présidente de la NUWSS. Enfin, la Pucelle apparaît à plusieurs reprises en une du journal de la WSPU, avec des photographies de sculpture et statue, ainsi que des dessins originaux ou issus d’autres journaux.
Les exemplaires conservés à la Women’s Library de Londres sont consultables sur LSE Digital Library, la bibliothèque numérique de la London School of Economics.
Rassemblant historien·nes, artistes, personnalités politiques et jeunes Orléanaises ayant incarné la Pucelle, cette émission éclaire les circonstances dans lesquelles Jeanne d’Arc est « devenue tour à tour l’emblème de la République laïque, de l’Église catholique et du nationalisme intégral, de la Résistance et de la Collaboration, de la xénophobie et de la cause des femmes… ».
Ce documentaire est le quatrième d’une série de cinq épisodes consacrés à la vie et à la postérité de Jeanne d’Arc, produits par Martin Quenehen et réalisés par Doria Zenine.
Vincent Cousseau, Florent Gabaude et Aline Le Berre (dir.)
Presses universitaires de Limoges, 2017
L’élaboration, la propagation et l’exploitation du mythe johannique sont au cœur de cet ouvrage collectif, incluant un chapitre de Christophe Le Dréau sur les interprétations de Jeanne d’Arc au Royaume-Uni entre 1909 et 1920, et un autre de Sabine Savornin sur les discours antagonistes du Front national et des Femen.
Jean-Patrice Boudet et Xavier Hélary (dir.)
Presses universitaires de Rennes, 2014
Cet ouvrage collectif consacré à l’histoire et aux multiples interprétations de Jeanne d’Arc comprend notamment un chapitre de Yann Rigolet intitulé « Jeanne d’Arc chez les frontistes : faire-valoir médiatique ou marqueur identitaire ? ».
Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau
Desclée de Brouwer, 2017
Énorme ouvrage d’environ deux mille pages, ce Dictionnaire encyclopédique de Jeanne d’Arc comprend, entre autres, des entrées aux noms de plusieurs personnalités politiques du 20ᵉ siècle, utiles à l’identification et à l’analyse des évocations de la figure johannique.
À la Bpi, niveau 2, 235 JEAN.A 2
Rédiger un commentaire
Les champs signalés avec une étoile (*) sont obligatoires
XÉtant un service public, nous ne faisons aucun usage commercial des données collectées lors de votre navigation. Nous utilisons les cookies ou technologies similaires pour accéder uniquement à des données personnelles non sensibles stockées sur votre terminal, que nous traitons afin de réaliser des statistiques, mesurer les performances du site, ou permettre des accès à des ressources externes.
Vous pouvez à tout moment revenir sur vos choix en utilisant le lien "Personnaliser". En savoir plusRefuserAccepterPersonnaliser
Politique de confidentialité & cookies
Gestion de vos préférences sur les cookies
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience de navigation. Ces cookies sont classés en trois catégories : fonctionnel, statistiques et marketing.
Veuillez retrouver notre politique de gestions de données personnelles et de cookies : page "Informations sur les cookies" et page "Politique de confidentialité"
Ces cookies nous permettent de réaliser des statistiques de mesures d’audiences et de performances en analysant le volume et la source du trafic sur notre site. Ces cookies permettent également d’analyser de façon anonyme le comportement des visiteurs de notre site afin de mesurer et d'améliorer les performances de notre site et de nos campagnes en ligne.
Le recueil de votre consentement n’est pas requis, nous utilisons un logiciel d’analyse d’audience (Matomo) configuré selon les recommandations de la CNIL pour bénéficier de l’exemption de consentement.
https://www.cnil.fr/fr/cookies-et-autres-traceurs/regles/cookies-solutions-pour-les-outils-de-mesure-daudience
Cookie
Type
Durée
Description
_pk_id.*
13 mois
Ce cookie est installé par l'outil d'analyse Web Matomo.
Le cookie _pk_id est utilisé pour stocker des détails sur l'utilisateur tels que l'identifiant unique (ID).
Les cookies créés par Matomo commencent par : _pk_ref, _pk_cvar, _pk_id, _pk_ses.
Pour plus d'informations sur les cookies de Matomo : https://fr.matomo.org/faq/general/faq_146/
_pk_ses.*
30 minutes
Ce cookie est installé par l'outil d'analyse Web Matomo.
Ce cookie _pk_ses de courte durée est utilisé pour stocker temporairement les données de la visite.
Les cookies créés par Matomo commencent par : _pk_ref, _pk_cvar, _pk_id, _pk_ses.
Pour plus d'informations sur les cookies de Matomo : https://fr.matomo.org/faq/general/faq_146/
Les cookies fonctionnels aide à améliorer les performances de certaines fonctionnalités comme partager le contenu du site sur les réseaux sociaux, collecter des retour d'expérience, et autres fonctionnalités.
Cookie
Type
Durée
Description
bcookie
0
2 years
Ce cookie est installé par LinkedIn pour activer les fonctions de LinkedIn sur ce site.
cookielawinfo-checkbox-necessary
0
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie «Nécessaire».
cookielawinfo-checkbox-non-necessary
0
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie «Non nécessaire».
csrftoken
0
11 months
Ce cookie est associé à la plateforme de développement Web Django pour python. Utilisé pour aider à protéger le site Web contre les attaques de falsification de requêtes intersites
lidc
0
1 day
Ce cookie est défini par LinkedIn et utilisé pour le routage.
viewed_cookie_policy
0
11 months
Le cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent et est utilisé pour stocker si l'utilisateur a consenti ou non à l'utilisation de cookies. Il ne stocke aucune donnée personnelle.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site. Ces cookies génèrent des informations mesurables sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source du trafic etc.
Cookie
Type
Durée
Description
everest_g_v2
0
1 year
Le cookie est défini sous le domaine eversttech.net. Le but du cookie est de mapper les clics sur d'autres événements sur le site Web du client.
GPS
0
30 minutes
Ce cookie est défini par Youtube et enregistre un identifiant unique pour suivre les utilisateurs en fonction de leur emplacement géographique
mc
0
1 year
Ce cookie est associé à Quantserve pour suivre de manière anonyme comment un utilisateur interagit avec le site Web.
MR
0
1 week
Ce cookie est utilisé pour mesurer l'utilisation du site Web à des fins d'analyse.
VISITOR_INFO1_LIVE
1
5 months
Ce cookie est défini par Youtube. Utilisé pour suivre les informations des vidéos YouTube intégrées sur un site Web.
YSC
1
Ces cookies sont définis par Youtube et sont utilisés pour suivre les vues des vidéos intégrées.
Les cookies publicitaires sont utilisés pour procurer une expérience optimale aux visiteurs du site avec des publicités et des campagnes marketing pertinentes. Ces cookies traquent les visiteurs à travers les sites et collectent leurs informations pour générer des publicités personnalisées.
Cookie
Type
Durée
Description
ATN
1
2 years
Ce cookie est installé par atdmt.com et stockent des données sur le comportement de l'utilisateur sur plusieurs sites Web. Les données sont ensuite utilisées pour diffuser des publicités pertinentes aux utilisateurs du site Web.
bito
0
1 year
bitoIsSecure
0
1 year
bscookie
1
2 years
chkChromeAb67Sec
0
2 months
CMID
0
1 year
CMPRO
0
2 months
CMPS
0
2 months
CMST
0
1 day
cref
0
1 year
damd
0
1 year
dc
0
9 years
dmvk
0
dmxId
0
9 months
fr
1
2 months
Le cookie est installé par Facebook pour montrer des publicités pertinentes aux utilisateurs et mesurer et améliorer les publicités. Le cookie suit également le comportement de l'utilisateur sur le Web sur les sites dotés d'un pixel Facebook ou d'un plugin social Facebook.
GED_PLAYLIST_ACTIVITY
0
glassbox-session-id
0
30 minutes
IDE
1
2 years
Utilisé par Google DoubleClick, ce cookie stocke des informations sur la façon dont l'utilisateur utilise le site Web et toute autre publicité avant de visiter le site Web. Ceci est utilisé pour présenter aux utilisateurs des publicités qui les concernent en fonction du profil de l'utilisateur.
KADUSERCOOKIE
0
2 months
KTPCACOOKIE
0
1 day
lang
0
Ce cookie est utilisé pour stocker les préférences linguistiques d'un utilisateur afin de diffuser du contenu dans cette langue stockée lors de sa prochaine visite sur le site Web.
lissc
0
1 year
li_sugr
0
2 months
matchbidswitch
0
1 month
MUID
0
1 year
Utilisé par Microsoft comme identifiant unique. Le cookie est défini par des scripts Microsoft intégrés. Le but de ce cookie est de synchroniser l'ID sur de nombreux domaines Microsoft différents pour permettre le suivi des utilisateurs.
pardot
0
Le cookie est défini lorsque le visiteur est connecté en tant qu'utilisateur Pardot.
personalization_id
0
2 years
Ce cookie est utilisé par Twitter pour intégrer les fonctionnalités de partage de ce média social. Il stocke également des informations sur la manière dont l'utilisateur utilise le site Web pour le suivi et le ciblage.
PUBMDCID
0
2 months
Ce cookie est défini par pubmatic.com. Le cookie stocke un identifiant utilisé pour afficher des publicités sur le navigateur des utilisateurs.
ROUTEID
0
ss
1
9 years
SyncRTB3
0
2 months
TDCPM
0
1 year
Le cookie est défini par le service CloudFlare pour stocker un identifiant unique afin d'identifier un appareil d'utilisateurs qui reviennent, qui est ensuite utilisé pour la publicité ciblée.
TDID
0
1 year
Le cookie est défini par le service CloudFlare pour stocker un identifiant unique afin d'identifier un appareil d'utilisateurs qui reviennent, qui est ensuite utilisé pour la publicité ciblée.
test_cookie
0
11 months
ts
1
1 year
tuuid
0
9 years
Ce cookie est défini par .bidswitch.net. Les cookies stockent un identifiant unique dans le but de déterminer les publicités que les utilisateurs ont vues si vous avez visité l'un des sites Web des annonceurs. Les informations sont utilisées pour déterminer quand et à quelle fréquence les utilisateurs verront une certaine bannière.
u
0
2 months
UserMatchHistory
0
1 month
usprivacy
0
1 year
ut
0
9 years
v1st
0
1 year
viewer_token
0
1 month
wfivefivec
0
1 year
_fbp
0
2 months
Ce cookie est défini par Facebook pour diffuser des publicités lorsqu'ils sont sur Facebook ou sur une plate-forme numérique alimentée par la publicité Facebook après avoir visité ce site Web.
Les champs signalés avec une étoile (*) sont obligatoires