La Passion selon Saint-Matthieu de Bach

Voici la réponse de Gilles Cantagrel, spécialiste de Bach, voir notice biographique :

Gilles Cantagrel
Musicologue, ancien directeur de France Musique, Gilles Cantagrel est l’auteur de multiples ouvrages sur la musique, notamment 

• Dietrich Buxtehude, Fayard, 2006
• Le Moulin et la rivière : Air et variations sur Bach, Fayard, 1998
• Bach en son temps, Fayard, 1997

Je cite :

Les éditeurs sont évidemment tenus d’indiquer le nom de l’auteur de la traduction des textes qu’ils publient. S’ils ne le font pas, je ne vois guère comment connaître le traducteur à qui l’on a fait appel, sinon en s’adressant directement à l’éditeur. Pour en savoir davantage, je ne puis que renvoyer la personne qui pose ces questions à mon livre J. S. Bach, Passions, Messes et Motets, publié par Fayard et que l’on peut consulter en bibliothèque, je suppose. J’y donne réponse aux questions posées, avec une autre traduction que celle citée par l’internaute, traduction sans doute élégante mais très éloignée de l’original allemand – à l’exception, bien sûr, du texte évangélique. Outre une introduction générale sur les Passions, l’internaute trouvera la traduction et les commentaires de la Passion selon saint Matthieu, de la page 95 à la page 178

Quant à savoir qui était l’écrivain Picander, plutôt que je redise ce qui se trouve déjà dans mes livres, qu’il suffise à cette personne de chercher via Google. La notice [de Wikipedia] est plutôt bien faite.
J’espère vous avoir ainsi apporté les éléments de réponse que vous souhaitiez.

Notice Picander de Wikipedia.

Cordialement,
Eurêkoi – Bibliothèque publique d’information