Série

Appartient au dossier : Je suis pas mort, je suis là

Migrations #13 : Haltères, Melilla

À partir du 16 février 2016, nous vous proposons de découvrir chaque jour une photographie tirée du travail de la photographe Laetitia Tura, intitulé Je suis pas mort, je suis là. Ce projet parcourt les endroits traversés par les migrants africains à travers une série d’images dans lesquelles on distingue les traces légères et éphémères de ceux qui y ont souvent laissé leur vie. 

Des haltères, au sol, dans l'herbe
La vie nue – Haltères, Melilla, 2007, © Laetitia Tura

La vie nue – Haltères, Melilla, 2007
(Cliquez sur l’image pour l’agrandir)

Quand ils arrivent dans l’enclave espagnole de Melilla, la plupart des migrants sont hébergés dans le camp ouvert du C.E.T.I – Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes (Centre d’accueil temporaire pour immigrés).Ceux qui ne peuvent être admis au C.E.T.I. se dissimulent dans des abris de fortune pour dormir : carcasses de voitures, cabanes construites à partir de matériaux récupérés : cartons, palettes d’usines, bois etc.

Retrouvez l’ensemble des photographies du projet dans le dossier Je suis pas mort, je suis là.

Photographies et textes Laetitia Tura
Extraits d’entretiens réalisés avec Hélène Crouzillat

Publié le 28/02/2016 - CC BY-NC-ND 3.0 FR

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