En 2050, la population mondiale atteindra le chiffre annoncé de 9,50 milliards d’individus. Ce chiffre à lui seul fait planer la menace d’une surpopulation et de son corollaire, la pénurie alimentaire généralisée.
Dans le cadre du cycle Enjeux internationaux, une rencontre suivie d’un débat est organisée à la Bpi le 23/02/2015 avec des spécialistes d’économie, de relations internationales et d’agronomie, sur le sujet Agriculture et alimentation : un enjeu mondial – géopolitique de l’alimentation. A cette occasion, la Bpi vous propose une bibliographie et une sitographie introduites par quelques pistes de réflexion.
La planète sera-t-elle capable de nourrir plus des 7 milliards d’habitants actuels ?
Faisons d’abord un détour par la démographie et ce livre qui va à l’encontre des idées reçues :
La Bombe démographique en question Yves Charbit, Maryse Gaimard, P.U.F., 2015 À la Bpi, niveau 2, En commande
Tout en rappelant le caractère imprédictible des phénomènes démographiques, les auteurs dénoncent le discours catastrophiste ambiant. Certes, notre planète ne comptait que 2,8 milliards d’habitants en 1950. La population a doublé en 37 ans, entre 1950 et 1987 mais ce rythme soutenu est en train de ralentir. La fécondité a diminué de moitié depuis 1972, chutant de 6 enfants par femme à 2,9 aujourd’hui. Si la population continue d’augmenter au rythme actuel, elle atteindra en 2050 son point culminant et amorcera une décrue.
La dépopulation est déjà à l’œuvre dans plusieurs pays, riches ou pauvres, l’Allemagne, le Japon, la Chine, le Mexique… où le taux de natalité est tombé en dessous du taux de remplacement de 2,1 enfants par femme, grâce à l’élévation du niveau de vie. « Le développement économique et social est le meilleur des contraceptifs », aime dire la Banque mondiale…
Pendant la deuxième moitié du 21e siècle, la question risque de s’inverser : Quel impact la dépopulation aura-t-elle sur la prospérité mondiale ?
Les sols du monde pourront-ils nourrir 9 milliards d’humains ?
Les pédologues répondent par l’affirmative. La première fonction des sols est d’assurer l’alimentation.
L’agriculture utilise un tiers des terres émergées du globe soit un peu moins de cinq milliards d’hectares. Elle en cultive seulement un tiers, soit 1,6 milliard d’hectares, le reste est occupé par des pâturages. Plus du tiers des surfaces cultivées sont en Asie.
Les terres cultivées actuellement peuvent fournir à chacun une ration alimentaire énergétique journalière de 2800 Kcal. La ration alimentaire nécessaire par individu et par jour est de 2500 kilocalories en moyenne. La production alimentaire mondiale actuelle suffit donc, en théorie, pour nourrir le monde, sans déforestation supplémentaire.
Or un milliard de personnes sont sous-alimentées dans le monde. Il existe une grande disparité dans la répartition des ressources et l’accès à l’alimentation. Certes les sols sont plus ou moins fertiles. L’énergie solaire qui favorise la photosynthèse et la production de végétaux est inégalement répartie. Mais les paysans du monde font preuve d’une riche imagination pour tirer le meilleur parti des ressources disponibles en développant des techniques agricoles adaptées aux conditions locales pour fertiliser les sols, irriguer, construire des terrasses sur les pentes et arrêter l’érosion. Deux milliards d’hectares sur les neuf milliards occupés par l’agriculture et la forêt ont des sols dégradés par l’homme, surtout en Afrique et en Asie : sols mis à nu, érosion par ruissellement, par action du vent, salinisation, tassement à cause du passage d’engins agricoles trop lourds, surpâturage, pollutions minières, industrielles… et urbanisation ; les villes se sont implantées historiquement là où les sols étaient les plus fertiles pour pouvoir faire pousser des cultures maraîchères à proximité.
Si les sols dorénavant se dégradent plus vite qu’ils ne se régénèrent, on peut y remédier, tel est l’enjeu posé par le livre :
L’épuisement de la terre, l’enjeu du XXI siècle Daniel Nahon, Ed.Odile Jacob, 2008 À la Bpi, niveau 2, 554.6 NAH
Au 21e siècle, qui nourrira qui ?
« Au printemps 2008, la planète s’est réveillée avec la gueule de bois. Elle croyait être sur le chemin radieux de l’autosuffisance alimentaire. Les famines n’étaient plus que résiduelles ou délibérément provoquées. L’abondance avait bien donné de nouvelles pathologies, comme l’obésité, mais n’était-ce pas préférable à la faim ? Et puis tout s’est emballé. Des émeutes de la faim ont éclaté dans les pays du Sud et on s’est demandé pourquoi la FAO et l’OMC n’avaient pas pu empêcher ce dérèglement alimentaire mondial ? ».
C’est ainsi que le géographe Gilles Fumey introduit son ouvrage :
Géopolitique de l’alimentation Gilles Fumey, Sciences humaines éditions.2012 À la Bpi, niveau 3, 913.42 FUM
Au niveau mondial, depuis les années 1980, la libéralisation des échanges des denrées agricoles et l’ouverture des frontières profitent aux pays riches. Ils produisent des excédents qu’ils peuvent transporter sur de grandes distances à bas coût. Même si le commerce international des produits alimentaires ne porte que sur 15 % de la production mondiale, les pays pauvres sont contraints par l’OMC et le FMI de cesser de soutenir l’agriculture vivrière, peu « rentable » ! et de se spécialiser dans les productions tropicales, café, cacao, arachide, coton… Ces productions ne concurrencent pas celles du Nord, s’exportent et font rentrer des devises afin de rembourser les dettes des pays pauvres. La FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) a perdu de son influence devant l’OMC (Organisation mondiale du commerce).
Le nombre de personnes malnutries dans le monde est longtemps resté stable, aux alentours de 800 millions de personnes, surtout dans les zones rurales et ce malgré l’augmentation de la population mondiale. En 1900, la population mondiale était de 1,8 milliard d’habitants. En 1950, elle passe à 2,8 milliards d’habitants. En 2000, elle atteint 6,3 milliards d’habitants. Et le nombre de personnes souffrant de la faim reste autour de 800 millions !
L’autosuffisance des pays du sud n’a pas été une priorité. Les paysans africains ne pouvaient supporter la concurrence des surplus subventionnés des pays riches, ni la spéculation financière sur le prix des céréales. Ils sont allés grossir les rangs des habitants des bidonvilles. Et le chiffre symbolique de 1 milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde a été atteint au début du 21e siècle. Les populations concernées, en Afrique et en Asie surtout, sont désormais urbaines et sont donc plus visibles. D’où les émeutes de la faim.
Quant aux grandes agricultures du monde (Etats-Unis, Europe, Chine…), elles se sont développées à l’abri de leurs frontières grâce à des politiques publiques contrôlant la régulation des marchés et soutenant la filière agro-alimentaire.
Et si l’agriculture était la voie du redressement économique de la France ?
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’agriculture française doit nourrir une population exténuée par les privations. Sa modernisation, financée par le plan Marshall, est faite au pas de charge : mécanisation, remembrement, arrachage des haies, agrandissement des parcelles, déversement de produits phytosanitaires, irrigation à grande échelle, développement de l’industrie agro alimentaire mais aussi érosion des sols, réduction de la biodiversité végétale et animale, pollutions des eaux et des sols par les pesticides, crise de la vache folle… Cinquante ans après, 60 % des paysans ont disparu mais l’agriculture française nourrit sa population. Elle est même excédentaire. Bien sûr malgré le credo libéral, elle est fortement subventionnée.
Une attitude qui tranche par rapport au tableau négatif qui est fait habituellement de la situation agricole de la France, celle de Sébastien Abis, géopolitologue et Thierry Pouch, économiste à l’assemblée permanente des chambres d’agriculture, auteurs de :
Agriculture et mondialisation : Un atout géopolitique pour la France, Sébastien Abis, Thierry Pouch, Presses de Sciences Po, coll. Nouveaux débats, 2014 À la Bpi, niveau 2, 339.1(44) ABI
L’agriculture est un atout pour la France, première puissance agricole et céréalière européenne, puissance viticole, puissance laitière… Elle doit s’en servir pour assurer son rayonnement international, dans un monde où des pays émergents participent à cette nouvelle géoéconomie des ressources alimentaires, où les conflits d’intérêt, les difficultés d’approvisionnement font de l’alimentation un enjeu diplomatique entre compétition et devoirs de coopération.
La géopolitique qui traite habituellement des relations entre états, des guerres, des alliances, des traités en tous genres, est habilitée à montrer les rapports de force entre les protagonistes qui gravitent autour de la planète alimentaire, marchés, états et leurs politiques agricoles, multinationales de l’agroalimentaire, semenciers, organisations internationales, ONG, petits paysans, grands céréaliers, spéculateurs,…
La géopolitique du goût
Nous tous, mangeurs et consommateurs participons aussi à cette économie mondiale. Dans les pays industrialisés, notre consommation de poulets ou de boeufs nourris avec du soja brésilien contribue à la déforestation de l’Amazonie. Le Brésil mise sur l’accroissement de sa production de soja alors qu’il est déjà le premier producteur mondial et laisse ses paysans du Nordeste en état de malnutrition. Les Européens consomment dix kilos de légumes par an qui proviennent surtout de la région d’Alméria au Sud de l’Espagne. Ces légumes sont cultivés dans des serres et irrigués artificiellement dans une région qui souffre de sécheresse. Ils vont ensuite inonder les marchés africains comme celui de Dakar, avec un prix trois fois moins cher. Les petits paysans locaux ne peuvent soutenir la concurrence et faute d’écouler leur production vont grossir le rang des urbains ou des immigrés clandestins. Dans les villes africaines, la mode de la « baguette de pain » exerce une concurrence déloyale sur les céréales comme le mil ou le manioc qui constituaient l’aliment de base mais demandent une longue préparation culinaire.
A l’heure de la circulation des produits et de la mobilité des hommes (surtout les touristes originaires des pays riches ! ), les grandes aires culinaires traditionnelles résistent. On continue à consommer du riz surtout en Asie, du maïs en Amérique, du blé et des olives en Méditerranée… Mais la standardisation guette et avec elle l’alimentation industrialisée, la mal bouffe, la fast-foodisation du monde. Des poches de résistance apparaissent notamment autour de nouvelles pratiques d’approvisionnement comme les AMAP ou les mouvements locavores qui privilégient le local.
Au 21e siècle, la transformation des régimes alimentaires est à l’oeuvre à l’échelle planétaire et a tendance à creuser les inégalités d’accès à la nourriture et à la santé, entre obèses et affamés. Loin de tout discours catastrophiste, le géographe Gilles Fumey dessine la cartographie de la planète alimentaire. Il retrace le destin de petits légumes ouzbeks ou du poivre de Cayenne ou du Sichuan et autres produits rattachés à un terroir ou une appellation géographique. Il souligne l’imbrication entre le local et le global. « Le mondial ne se construit pas sans le local » et « le mondial construit et reconstruit le local » écrit-il dans son livre joliment intitulé :
Les Radis d’Ouzbékistan : Tour du monde des habitudes alimentaires, Gilles Fumey, François Bourin Editeur, 2011 À la BPI, niveau 3, 913.5 FUM
Agter est une association inernationale à but non lucratif créée en 2005. Elle milite pour une bonne gouvernance des ressources naturelles et foncières au niveau planétaire. Alain Ruellan, auteur de Des sols et des hommes, un lien menacé, Editions de l’IRD, 2010, en était membre d’honneur.
Le Cirad est un centre de recherche français qui dépend du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du Ministère des Affaires étrangères. Il met les sciences du vivant, des sciences sociales aux sciences de l’ingénieur, au service des pays du Sud pour le développement agricole.
Land Matrix met en ligne des données collectives sur l’achat de terres dans le monde. Un groupe de chercheurs travaille à la cartographie des 200 millions d’hectares de terres qui ont fait l’objet de transactions, essentiellement en Afrique et en Asie du Sud-Est.
La FAO est une association internationale intergouvernementale. Ses objectifs affichés sont de contribuer à éradiquer la faim, l’insécurité alimentaire et la malnutrition mais aussi de gérer de manière durable les ressources naturelles, terre, eau, air, ressources génétiques…
Oxfam France est association loi 1901, membre de la confédération Oxfam, une organisation internationale de développement qui mobilise le pouvoir citoyen contre la pauvreté.
Oxfam France mène des campagnes de lutte contre la faim, elle vient de publier un rapport sur les banques françaises qui spéculent sur les matières premières agricoles. Elle lutte contre l’accaparement des terres et essaye de faire voter des lois qui encadrent l’achat de terres agricoles dans le monde. Elle dénonce les agro-carburants…
Rédiger un commentaire
Les champs signalés avec une étoile (*) sont obligatoires
XÉtant un service public, nous ne faisons aucun usage commercial des données collectées lors de votre navigation. Nous utilisons les cookies ou technologies similaires pour accéder uniquement à des données personnelles non sensibles stockées sur votre terminal, que nous traitons afin de réaliser des statistiques, mesurer les performances du site, ou permettre des accès à des ressources externes.
Vous pouvez à tout moment revenir sur vos choix en utilisant le lien "Personnaliser". En savoir plusRefuserAccepterPersonnaliser
Politique de confidentialité & cookies
Gestion de vos préférences sur les cookies
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience de navigation. Ces cookies sont classés en trois catégories : fonctionnel, statistiques et marketing.
Veuillez retrouver notre politique de gestions de données personnelles et de cookies : page "Informations sur les cookies" et page "Politique de confidentialité"
Ces cookies nous permettent de réaliser des statistiques de mesures d’audiences et de performances en analysant le volume et la source du trafic sur notre site. Ces cookies permettent également d’analyser de façon anonyme le comportement des visiteurs de notre site afin de mesurer et d'améliorer les performances de notre site et de nos campagnes en ligne.
Le recueil de votre consentement n’est pas requis, nous utilisons un logiciel d’analyse d’audience (Matomo) configuré selon les recommandations de la CNIL pour bénéficier de l’exemption de consentement.
https://www.cnil.fr/fr/cookies-et-autres-traceurs/regles/cookies-solutions-pour-les-outils-de-mesure-daudience
Cookie
Type
Durée
Description
_pk_id.*
13 mois
Ce cookie est installé par l'outil d'analyse Web Matomo.
Le cookie _pk_id est utilisé pour stocker des détails sur l'utilisateur tels que l'identifiant unique (ID).
Les cookies créés par Matomo commencent par : _pk_ref, _pk_cvar, _pk_id, _pk_ses.
Pour plus d'informations sur les cookies de Matomo : https://fr.matomo.org/faq/general/faq_146/
_pk_ses.*
30 minutes
Ce cookie est installé par l'outil d'analyse Web Matomo.
Ce cookie _pk_ses de courte durée est utilisé pour stocker temporairement les données de la visite.
Les cookies créés par Matomo commencent par : _pk_ref, _pk_cvar, _pk_id, _pk_ses.
Pour plus d'informations sur les cookies de Matomo : https://fr.matomo.org/faq/general/faq_146/
Les cookies fonctionnels aide à améliorer les performances de certaines fonctionnalités comme partager le contenu du site sur les réseaux sociaux, collecter des retour d'expérience, et autres fonctionnalités.
Cookie
Type
Durée
Description
bcookie
0
2 years
Ce cookie est installé par LinkedIn pour activer les fonctions de LinkedIn sur ce site.
cookielawinfo-checkbox-necessary
0
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie «Nécessaire».
cookielawinfo-checkbox-non-necessary
0
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie «Non nécessaire».
csrftoken
0
11 months
Ce cookie est associé à la plateforme de développement Web Django pour python. Utilisé pour aider à protéger le site Web contre les attaques de falsification de requêtes intersites
lidc
0
1 day
Ce cookie est défini par LinkedIn et utilisé pour le routage.
viewed_cookie_policy
0
11 months
Le cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent et est utilisé pour stocker si l'utilisateur a consenti ou non à l'utilisation de cookies. Il ne stocke aucune donnée personnelle.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site. Ces cookies génèrent des informations mesurables sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source du trafic etc.
Cookie
Type
Durée
Description
everest_g_v2
0
1 year
Le cookie est défini sous le domaine eversttech.net. Le but du cookie est de mapper les clics sur d'autres événements sur le site Web du client.
GPS
0
30 minutes
Ce cookie est défini par Youtube et enregistre un identifiant unique pour suivre les utilisateurs en fonction de leur emplacement géographique
mc
0
1 year
Ce cookie est associé à Quantserve pour suivre de manière anonyme comment un utilisateur interagit avec le site Web.
MR
0
1 week
Ce cookie est utilisé pour mesurer l'utilisation du site Web à des fins d'analyse.
VISITOR_INFO1_LIVE
1
5 months
Ce cookie est défini par Youtube. Utilisé pour suivre les informations des vidéos YouTube intégrées sur un site Web.
YSC
1
Ces cookies sont définis par Youtube et sont utilisés pour suivre les vues des vidéos intégrées.
Les cookies publicitaires sont utilisés pour procurer une expérience optimale aux visiteurs du site avec des publicités et des campagnes marketing pertinentes. Ces cookies traquent les visiteurs à travers les sites et collectent leurs informations pour générer des publicités personnalisées.
Cookie
Type
Durée
Description
ATN
1
2 years
Ce cookie est installé par atdmt.com et stockent des données sur le comportement de l'utilisateur sur plusieurs sites Web. Les données sont ensuite utilisées pour diffuser des publicités pertinentes aux utilisateurs du site Web.
bito
0
1 year
bitoIsSecure
0
1 year
bscookie
1
2 years
chkChromeAb67Sec
0
2 months
CMID
0
1 year
CMPRO
0
2 months
CMPS
0
2 months
CMST
0
1 day
cref
0
1 year
damd
0
1 year
dc
0
9 years
dmvk
0
dmxId
0
9 months
fr
1
2 months
Le cookie est installé par Facebook pour montrer des publicités pertinentes aux utilisateurs et mesurer et améliorer les publicités. Le cookie suit également le comportement de l'utilisateur sur le Web sur les sites dotés d'un pixel Facebook ou d'un plugin social Facebook.
GED_PLAYLIST_ACTIVITY
0
glassbox-session-id
0
30 minutes
IDE
1
2 years
Utilisé par Google DoubleClick, ce cookie stocke des informations sur la façon dont l'utilisateur utilise le site Web et toute autre publicité avant de visiter le site Web. Ceci est utilisé pour présenter aux utilisateurs des publicités qui les concernent en fonction du profil de l'utilisateur.
KADUSERCOOKIE
0
2 months
KTPCACOOKIE
0
1 day
lang
0
Ce cookie est utilisé pour stocker les préférences linguistiques d'un utilisateur afin de diffuser du contenu dans cette langue stockée lors de sa prochaine visite sur le site Web.
lissc
0
1 year
li_sugr
0
2 months
matchbidswitch
0
1 month
MUID
0
1 year
Utilisé par Microsoft comme identifiant unique. Le cookie est défini par des scripts Microsoft intégrés. Le but de ce cookie est de synchroniser l'ID sur de nombreux domaines Microsoft différents pour permettre le suivi des utilisateurs.
pardot
0
Le cookie est défini lorsque le visiteur est connecté en tant qu'utilisateur Pardot.
personalization_id
0
2 years
Ce cookie est utilisé par Twitter pour intégrer les fonctionnalités de partage de ce média social. Il stocke également des informations sur la manière dont l'utilisateur utilise le site Web pour le suivi et le ciblage.
PUBMDCID
0
2 months
Ce cookie est défini par pubmatic.com. Le cookie stocke un identifiant utilisé pour afficher des publicités sur le navigateur des utilisateurs.
ROUTEID
0
ss
1
9 years
SyncRTB3
0
2 months
TDCPM
0
1 year
Le cookie est défini par le service CloudFlare pour stocker un identifiant unique afin d'identifier un appareil d'utilisateurs qui reviennent, qui est ensuite utilisé pour la publicité ciblée.
TDID
0
1 year
Le cookie est défini par le service CloudFlare pour stocker un identifiant unique afin d'identifier un appareil d'utilisateurs qui reviennent, qui est ensuite utilisé pour la publicité ciblée.
test_cookie
0
11 months
ts
1
1 year
tuuid
0
9 years
Ce cookie est défini par .bidswitch.net. Les cookies stockent un identifiant unique dans le but de déterminer les publicités que les utilisateurs ont vues si vous avez visité l'un des sites Web des annonceurs. Les informations sont utilisées pour déterminer quand et à quelle fréquence les utilisateurs verront une certaine bannière.
u
0
2 months
UserMatchHistory
0
1 month
usprivacy
0
1 year
ut
0
9 years
v1st
0
1 year
viewer_token
0
1 month
wfivefivec
0
1 year
_fbp
0
2 months
Ce cookie est défini par Facebook pour diffuser des publicités lorsqu'ils sont sur Facebook ou sur une plate-forme numérique alimentée par la publicité Facebook après avoir visité ce site Web.
Les champs signalés avec une étoile (*) sont obligatoires