Margaret Atwood
Robert Laffont, 2017
Cette découverte est assez récente, mais je sens qu’elle fait partie d’un moment qu’on pourrait qualifier de tournant dans ma réflexion d’autrice. J’ai toujours été attirée par les histoires de l’intime. Aujourd’hui, j’ai envie d’exploiter les possibilités qu’ouvre un récit de science-fiction. Margaret Atwood m’avait déjà convaincue avec La Servante écarlate et me donne envie de lire toute son œuvre. J’adhère complètement à son humour noir, à ses concepts farfelus, à ses métaphores et à la construction de ses scénarios.
C’est le cœur qui lâche en dernier nous plonge dans une Amérique en pleine crise économique. Un lieu offre la possibilité à certains élus de vivre dans de meilleures conditions (appartement, travail, confort) en échange d’un mois sur deux passé en prison. Le récit va très loin et les personnages nous surprennent à chaque chapitre. Ce roman traite à la fois de la liberté, l’amour, le libre-arbitre, la sincérité, l’enrichissement des riches sur les plus pauvres…
À la Bpi, niveau 3, 823 ATWO 4 HE
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