Appartient au dossier : La Chambre d’Echo(s) #3 : The Velvet Underground & Nico (1967)
Television, Marquee Moon (1977)
See no evil (extrait)
En 1977, le punk explose en Grande-Bretagne. Mais qui en est l’agitateur malin ? Un certain Malcolm McLaren, rompu à la philosophie warholienne, avait d’abord jeté son dévolu sur un groupe new-yorkais à la fois dangereux et subtil, comme l’était le Velvet, et nourri de jazz et de poésie : Television. Remisées les épingles à nourrice et la crète de Richard Hell, membre fondateur avec Tom Verlaine, le groupe expérimente avec d’autres (la « scène new-wave du CBGB » – Patti Smith, Talking Heads, Blondie – que celle du « Lower East Side » – Lydia Lunch, James Chance, DNA – radicalisera en no-wave) un rock stylé qui rejette les vaines prétentions du progressif tout autant qu’une authenticité rock’n’roll devenue chimérique. Place au postpunk, en somme, sans passer par le « punk ».
En 1977, le punk explose en Grande-Bretagne. Mais qui en est l’agitateur malin ? Un certain Malcolm McLaren, rompu à la philosophie warholienne, avait d’abord jeté son dévolu sur un groupe new-yorkais à la fois dangereux et subtil, comme l’était le Velvet, et nourri comme le Velvet de jazz et de poésie : Television.
Remisées les épingles à nourrice et la crète de Richard Hell, membre fondateur avec Tom Verlaine. Le groupe expérimente avec d’autres (la « scène new-wave du CBGB » – Patti Smith, Talking Heads, Blondie – que celle du « Lower East Side » – Lydia Lunch, James Chance, DNA – radicalisera en no-wave) un rock stylé qui rejette les vaines prétentions du progressif tout autant qu’une authenticité rock’n’roll devenue chimérique.
Place au postpunk, en somme, sans passer par le « punk ».
À la Bpi, niveau 3, 780.65 TELE
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Publié le 10/03/2016 - CC BY-SA 4.0
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